Gabriel Bacquier (1/5) : « Je n’étais pas du tout volontaire pour ce métier ! »
Dans ce premier épisode, Gabriel Bacquier raconte son enfance à Béziers dans une famille de cheminots. Il découvre la musique grâce au phonographe de son père, mais ne se destine pas tout de suite au métier de chanteur : il aime jouer la comédie, et rêve d’entrer aux Beaux-Arts…
Gabriel Bacquier (2/5) : « La Monnaie a fait de moi ce que je suis devenu ensuite »
Au début des années 50, le baryton Gabriel Bacquier chante surtout de l’opérette au sein de petites compagnies : « Le samedi, on répétait dans un bistrot à la Porte Saint-Denis, et le dimanche matin on prenait le car jusqu’à Valenciennes… » Il intègre ensuite la troupe de la Monnaie de Bruxelles.
Gabriel Bacquier (3/5) : « Si je fais une chose, je me donne à fond. Et au fur et à mesure je finis par y croire ! »
En 1960, Gabriel Bacquier est invité par le directeur du Festival d’Aix-en-Provence Gabriel Dussurget pour y chanter le rôle-titre du « Don Giovanni » de Mozart. Cette expérience marque le début d’une riche collaboration avec le festival, et une nouvelle étape dans sa carrière de chanteur lyrique.
Gabriel Bacquier (4/5) : « Je n’ai jamais eu le trac »
Dans ce quatrième volet de nos entretiens, le baryton Gabriel Bacquier se souvient notamment des grands chanteurs avec lesquels il a travaillé au cours de sa carrière : Montserrat Caballé, Tereza Berganza, Alain Vanzo…
Gabriel Bacquier (5/5) : « C’est le côté familial qui est pour moi plus important que tout le reste »
Dernier volet de nos entretiens avec le baryton Gabriel Bacquier.
- Gabriel Bacquier (1/5) : « Je n’étais pas du tout volontaire pour ce métier ! » Benoît Duteurtre 27:04
- Gabriel Bacquier (2/5) : « La Monnaie a fait de moi ce que je suis devenu ensuite » Benoît Duteurtre 26:59
- Gabriel Bacquier (3/5) « Si je fais une chose, je me donne à fond. Et au fur et à mesure je finis par y croire ! » Benoît Duteurtre 27:08
- Gabriel Bacquier (4/5) : « Je n’ai jamais eu le trac » Benoît Duteurtre 27:08
- Gabriel Bacquier (5/5) : « C’est le côté familial qui est pour moi plus important que tout le reste » Benoît Duteurtre 26:55